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L'écrivaine américaine Candace OWENS (@RealCandaceO) vient de consacrer sur X un entretien à l'affaire. De l'avis d'un autre chroniqueur du nom de VERDI (ci-dessus), si aux Etats-Unis l'affaire du Watergate n'avait guère traîné provoquant à l'automne 1974 et en quelques semaines la destitution du Président NIXON, en France, il n'en n'est pas de même pour l'affaire Jean-Michel TROGNEUX puisqu'invités par un juge à se présenter ensemble au tribunal en mars dernier, Jean-Michel TROGNEUX et sa prétendue soeur Brigitte TROGNEUX ont fait valoir, l'un et l'autre, des excuses afin d'échapper à cette confrontation liée à un dépôt de plainte contre deux femmes : Natacha REY et Amadine ROY. Le juge aurait-il dû faire reporter cette audience ou requérir la force publique pour aller chercher Madame TROGNEUX ? On devine aujourd'hui que Jean-Michel TROGNEUX né en février 1945 aurait choisi à la fin des années quatre-vingt de devenir... une femme, et une femme qui porterait désormais le nom de... Brigitte TROGNEUX et qu'il leur serait donc impossible d'apparaître ensemble puisqu'ils ne font qu'un. Alors que depuis la fin de l'année 2021 les rumeurs vont bon train sur les réseaux sociaux et que beaucoup commencent à se demander si tout cela ne serait pas fondé et si Brigitte MACRON ne serait pas un homme ! Ce que démontrent plusieurs enquêteurs comme Pressibus, Lionel LABOSSE et pas seulement les dénommées Natacha REY et Amandine ROY voire la lettre confidentielle de Faits et documents de Xavier POUSSARD présentée bien entendu comme un média d'extrême-droite. Car, en France, aujourd'hui, dès lors qu'on est contre la Macronie et ses manipulations, on est forcément d'extrême-droite.
Si c'était le cas, ce serait l'un des plus gros scandales d'Etat et il pourrait provoquer le départ d'un président devenu quelqu'un de profondément détesté et haï par les Français qu'il a d'ailleurs traité de connards. Ne serait-ce que parce qu'il a appelé autour de lui une quantité impressionnante de gens considérés comme des "déviants" (ministres et hauts fonctionnaires) et que ce président représente la France avec, à ses côtés, un homme du nom de Jean-Michel TROGNEUX qui aurait endossé depuis quelques années une identité différente en se faisant passer pour une femme. Une femme qui coûte à la France un million d'euros par an pour son seul entretien. Or et c'est l'évidence même, Emmanuel MACRON n'aurait jamais pu être élu en mai 2017 si le peuple avait su qu'il élirait en fait un couple d'hommes à l'Elysée et qu'il n'y aurait peut-être pas de "Première Dame" rue du faubourg Saint-Honoré au mois de mai de cette année-là. Malgré les efforts de maints magazines et publications soucieux de présenter la nouvelle "Berthe aux grands pieds" comme une citoyenne tout à fait ordinaire.
Mais écoutons les arguments avancés par ce chroniqueur du nom de VERDI qui tranchent bien évidemment avec le silence observé par des médias qui ont montré quel était leur attachement à ce président dictateur qui les rétribue largement.
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Collabo aux premières heures de la prise de pouvoir du Maréchal PETAIN, il n'aura tenu que quelques mois au poste de Secrétaire Général du Ministre de l'Intérieur du 6 septembre jusqu'en février 1941. Nommé au poste en remplacement du maire de Bordeaux Adrien MARQUET, c'est lui qui procèdera aux premières chasses aux Juifs dès le mois d'Octobre 1940. Opposant à LAVAL, il fera partie de ceux qui feront pression sur PETAIN après l'épisode de Montoire pour qu'il se sépare du maire d'Aubervilliers. Ce que les Allemands ne verront pas d'un bon oeil, notamment Otto ABETZ et qui lui sera fatal en février 1941. Il deviendra ensuite ambassadeur de notre pays en Argentine.
Le 23 décembre 1940, sur ordre d'un PEYROUTON cédant aux exigences du nazi GEISSLER, l'industriel allemand Fritz THYSSEN qui avait pourtant été l'un des premiers soutiens d'HITLER ainsi que son épouse qui s'étaient réfugiés en France après la nuit de Cristal de novembre 1938 seront arrêtés à Nice par la Police française et livrés aux nazis le 26 décembre 1940. Fritz THYSSEN sera déporté au camp de Sachsenhausen.
Fortement contesté par les Français libres, il sera arrêté en décembre 1943, et envoyé en Haute Cour après la libération de la métropole et finalement, selon l'Encyclopédie de la deuxième guerre mondiale publiée chez Larousse, acquitté en décembre 1948, après cinq ans de détention préventive. Revenu en 1949 dans son cher Maroc où il avait occupé avant guerre différentes fonctions administratives, il y passera de longues années occupé à différentes tâches, principalement journalistiques et littéraires. Il rédigera ses mémoires où il relatera ses 55 mois d'incarcération. Il décèdera à 96 ans le 6 novembre 1983.
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1er mars 2005 au matin, Édouard STERN ne se présente pas au travail. Une chose rare pour ce banquier d'affaires toujours à l'heure. En début d'après-midi, alertés par ses collaborateurs les policiers découvrent son corps dans le loft qu'il occupe au 17, rue Adrien-Lachenal à Genève, tué de plusieurs balles de Smith et Wesson 9 mm et emmailloté d'une combinaison en latex de couleur chair. Très vite les enquêteurs penchent pour l'épilogue tragique d'un jeu sado-maso qui aurait mal tourné mais dont ils auront cependant du mal à expliquer les tenants et l'aboutissement macabres. Ce qui est certain c'est qu'inconnu de son vivant malgré le fait qu'il ait été l'un des descendants du créateur de l'une des toutes premières banques d'affaires françaises et qu'il ait été marié à Béatrice, une fille de Michel DAVID-WEILL, président de la Banque Lazard, l'homme va soudain devenir lui aussi l'un des banquiers les plus célèbres grâce à la une de tous les magazines people de la planète car son penchant pour les affrontements sexuels va beaucoup faire jaser. D'autant que des sex-toys et des ustensiles sexuels seront retrouvés dans le loft ainsi qu'un certain nombre de revues olé-olé. A 50 ans, ce grand prédateur de la finance, divorcé et père de trois enfants qu'il adorait, pesait un milliard d’euros...
Le crime a tous les ingrédients d’un polar sulfureux, un polar auquel on finira même par mêler un jour la mafia russe. L'homme d'affaires n'avait pas caché peu de temps avant sa mort qu'il craignait pour sa vie et il s'était procuré des armes dont ce Smith et Wesson qu'il emmenait partout avec lui pour se protéger. Mais qui, plus sérieusement, aurait pu tuer Edouard STERN, l'ami et le banquier de Nicolas SARKOZY, un homme qui était tout de même en 2004 la 38ème fortune française ? Un rival en affaires parmi lesquels aurait également pu figurer une autre personnalité qui a aujourd'hui les dents longues, le dénommé Thierry BRETON. Avant que STERN ait été abattu, il avait été l'administrateur de Rhodia et le jeune banquier avait eu pour projet de lui déclarer la guerre puisqu'une plainte avait déjà été déposée contre l'ancien "Monsieur Thomson-Brandt". Juste avant que BRETON ne soit appelé par Jacques CHIRAC pour prendre en charge l'Economie et les Finances de notre pays. Certes, l'homme d'une cinquantaine d'années était réputé être assez dur en affaires et il avait redressé la Banque Stern que son propre père avait été incapable de diriger avant de la revendre fortune faite ? Personne ne saura répondre aux premières questions alors que son immeuble comptait un commissariat au rez-de-chaussée, où personne n'entendra de détonation. Ce qui est certain c'est qu'il connaissait son meurtrier puisque la porte d'entrée de son luxueux loft n'avait pas été forcée ! C'est lors de l'enquête que la part d'ombre du banquier livrera quels étaient ses excès, et des excès en tout ! Car ce n'était un secret pour personne, l'homme arrogant et méprisant semblait ne trouver de plaisir que dans des situations perverses. Peut-être aussi parce qu'enfant, il avait été humilié par un père, Antoine, qui ne songeait qu'à s'amuser et dont il se vengera en l'évinçant de sa propre banque. De l'avis de ceux qui le connaissaient, Edouard STERN était un homme agissant dans la vie comme partout ailleurs : sans scrupules. Ce qui l'amènera à croiser une certaine Cécile BROSSARD (ci-contre), un être éprouvé elle aussi par une enfance chaotique que l'on définira comme étant bipolaire, une sculptrice qu'il ne montrera jamais autour de lui lors de leurs premiers rendez-vous. On a dit qu'il avait entretenu avec elle une passion dévorante, charnelle et orageuse, qui les rongeait et les consumait tous les deux. Une créature plutôt maigriotte que les propres enfants d'Edouard trouvaient "tarte" et qui n'était pas spécialement une beauté. Elle rompra plusieurs fois, revenant toujours, comme si elle était subjuguée par cet homme qui alternait à son égard les comportements les plus amoureux et les plus odieux. Les messages tendres à son "petit lapin" seront par exemple suivis d'autant d'insultes du genre : « Tu n'es qu'une salope et tu ne crois quand même pas que je vais passer ma vie avec toi ! » Après l’été 2004, l'état de santé de Cécile s’était dégradé et elle avait perdu onze kilos. « Barre-toi, ça va mal finir », lui avaient dit des amis, persuadés qu’elle finirait par se tuer au comble d'une dépression. Crises de larmes, évanouissements... Cécile évoquera un jour la torture morale qu'elle subissait avant, le lendemain, d'être aux anges, parce que tout était rentré dans l’ordre. Mais elle ne rompra pas.
Passionnée des alcôves et ayant vécu des expériences traumatisantes plus jeune en supportant même un viol, la jeune femme a, semble-t-il, soudain exigé davantage de son compagnon de jeux érotiques ponctués de sado-masochisme et, à défaut de reconnaissance, d'avoir au moins la contrevaleur d'un million de dollars pour se trouver sécurisé financièrement. Des fonds qu'elle s'était engagée à lui restituer et qui aurait été un gage des intentions du banquier. Son "mec", comme elle avait coutume de dire de lui, ne lui avait-il pas promis le mariage ? A partir de la mi-février, ce million de dollars sera même au centre de toutes les préoccupations du couple. Cécile BROSSARD a-t-elle attendu cette pluie de dollars pour le quitter définitivement ? Ou Edouard STERN a-t-il utilisé ce million pour un nouveau jeu pervers afin de la tester ? Difficile de savoir quel a pu être le cheminement de pensée des uns et des autres ! Mais Cécile ayant tardé à restituer les fonds, Edouard s'était arrangé pour les faire bloquer, ce qui aurait provoqué l'ire de sa partenaire de jeux torrides qui l'aurait amenée à lui demander des explications en se rendant chez lui le 28 février au soir, quelques heures après avoir appris de sa banque que l'homme de sa vie venait de bloquer les fonds qu'il avait mis à sa disposition. Il est clair que cet homme à femmes, Edouard STERN n’avait pas du tout l’intention d’épouser Cécile, d'autant qu'à la même période, il avait proposé à une ex-amie, l'ex-miss URSS Julia, de « donner une seconde chance à [leur] couple ». Et Julia aurait attendu un enfant de lui, Maximilian qui mourra à l'âge de cinq mois en 2000.
Pourtant, les retrouvailles d'Edouard et de Cécile donneront lieu, une fois de plus, à des échanges torrides jusqu'à ce qu'elle lui ait demandé la raison pour laquelle il avait procédé au blocage des fonds versés et qu'il lui ait répondu en lançant cette phrase que Cécile prendra pour une véritable injure et qui condamnera le banquier : « un million, c'est cher payé pour une pute » ! Certains observateurs se demanderont s'il avait fait exprès de sortir une telle injure ou s'il n'avait pas voulu se suicider en prononçant à ses risques et périls ce que d'autres qualifieront de "phrase gâchette". Récupérant alors un revolver qu'elle savait où trouver, Cécile BROSSARD tirera quatre fois sur celui qui l'avait insultée avant de quitter l'appartement en catastrophe avec l'arme dont elle se débarrassera. Un tueur à gages n'aurait pas fait mieux ! Ayant appris à manier une telle arme, une première balle sera tirée presque à bout portant, à 10 ou 15 centimètres de la tête et la cagoule que portait Edouard STERN épargnera à Cécile la vision du visage de son amant. Puis trois autres détonations claqueront parce qu'elle ne voulait pas, dira-t-elle aux enquêteurs, qu'il souffre. Elle récupérera ensuite tout ce qui aurait pu la compromettre, effaçant ses empreintes, et emportant avec elle son attirail de "maîtresse sado-maso". Sans cependant se douter que ce départ serait filmé par une caméra au sous-sol qui la verra monter ce 28 février dans une voiture avec un sac à 21h17. Mariée à un naturopathe suisse, un certain Xavier qui était davantage un père de substitution qu'un époux qu'elle rejoindra, elle lui demandera par téléphone de réserver pour elle aux chemins de fer suisses un billet sur le Montreux-Milan de 23h40. Elle prétextera devant lui, la nécessité de prendre de la distance après une nouvelle dispute avec STERN, une passade que ce Xavier avait fini par tolérer. Elle ne s'étendra pas bien entendu sur son geste vengeur qu'elle lui cachera et quittera la Suisse pour l'Australie avant d'y revenir trois jours plus tard alertée par Fabienne SERVAN-SCHREIBER. Fabienne, la demi soeur d'Edouard qu'elle connaissait lui dira ce qui était arrivé à son séducteur pervers de frère. Mais c'est une toute autre version que Cécile BROSSARD servira aux enquêteurs un peu plus tard, en leur confiant avoir vu Édouard STERN le 28 février, déjà mort et tué à l'aide d'une arme, assurera-t-elle. Des versions qui permettront aux enquêteurs de la confondre car avec la chaleur qui se dégageait de la combinaison en latex, les trous faits par les balles s'étaient rebouchés et il n'y avait que le meurtrier qui aurait pu savoir que la mort avait été donné par une arme à feu et cela d'autant que la caméra dont elle avait ignoré la présence l'avait trahie. Et puis, il était difficile de croire qu'une autre personne ait pu se manifester ce soir-là avant elle pour tuer le banquier sans se faire photographier.
Arrêtée après avoir été entendue et n'avoir pas su se sortir de deux interrogatoires serrés pendant lequel elle avait tout d'abord nié toute implication dans le meurtre, Cécile BROSSARD craquera au second, le 15 mars. En possession de l'un des sept jeux de clés du loft, il n'avait guère été difficile aux enquêteurs de la localiser et de la convier à quelques échanges. Elle sera jugée en juin 2009 et condamnée à huit ans et demi de prison mais, avec les remises de peine, elle n'en fera que cinq. Contrainte de quitter le territoire suisse, elle tente depuis de se reconstruire en France dans la région parisienne, à la campagne, chez sa soeur. Mais elle est aujourd'hui tellement effondrée et sans doute stupéfaite d'avoir pu ôter la vie à celui auquel elle était attachée qu'elle doit bénéficier d'un suivi psychologique. Plongée dans une profonde dépression, elle a même fait une tentative de suicide. Cette histoire a inspiré de nombreux livres, dont deux romans, Latex, de Laurent SWEIZER, et Sévère de Regis JAUFFRET. Avant que Cécile BROSSARD soit inquiétée on avait même pensé à un sordide règlement de comptes, Edouard STERN ayant été compromis dans maintes affaires qui l'avaient vu s'opposer à des groupes et des sociétés comme RODHIA contre laquelle il avait déposé plainte en 2003 mouillant au passage Thierry BRETON qui deviendra quelque temps plus tard ministre des Finances. De ce fait divers on fera aussi un film avec, dans le rôle de Cécile, Laetitia CASTA.
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Le 11 février 2024, Jean-Michel TROGNEUX, le second nom de la fausse "Première Dame de France" a fêté ses... 79 ans et, en dehors de quelques lignes qui auront continué à amuser certains réseaux sociaux comme Twitter, l'événement sera passé quasiment inaperçu ailleurs !
Il faut bien dire que ce que nous savions de ce personnage concernait jusqu'alors surtout une certaine Brigitte MACRON qui nous avait été vendue depuis l'entrée en campagne de la Macronie en 2016 comme une bourgeoise catholique de province (Amiens) qui avait fait une carrière d'enseignante, excellente même de l'avis de plusieurs observateurs, et dont le seul tort avait été de tomber amoureuse en 1991 d'un loupiot de moins de 14 ans qui savait déjà tout sur tout, alors qu'elle était censée en avoir 39 ! Sans pour autant que l'on associe ce coup de coeur à un détournement de mineur répréhensible comme avait pu l'être celui de la pauvre Gabrielle RUSSIER (Photo ci-contre) vingt ans auparavant ! Gabrielle dont il ne reste aujourd'hui que cette merveilleuse chanson d'AZNAVOUR : Mourir d'aimer. Seulement depuis la publication d'un média certes contesté comme Faits et Documents sur cette "fausse" Première Dame et surtout deux très longs interviews d'une journaliste assez curieuse du nom de Natacha REY, ce que nous savions de celle-ci a un peu changé. Il serait même question, non seulement de pédophilie avec ce détournement de mineur opéré à Amiens et jamais sanctionné, mais d'un très grave mensonge d'Etat qui dissimulerait bien d'autres travers ! Avec pour échapper aux quelques accusations la mise en branle d'une fabrication de données trompeuses allant d'informations, jamais les mêmes, exploitées dans des écrits réalisés sur commande, comme pour mettre un terme à ce qui aurait été difficilement perçu. Car deux hommes à l'Elysée un peu plus de cinquante ans après Yvonne de GAULLE, cela n'aurait pas manqué de sel !
On devine après les deux longs interviews et plusieurs autres recherches effectuées que l'on nous a raconté n'importe quoi pour cacher tout ça et que beaucoup de responsables n'avaient jamais croisé Brigitte MACRON avant 1991 ! Et pour cause puisque c'est à la fin des années 80 que Jean-Michel TROGNEUX serait devenu... Brigitte MACRON ! Reste à savoir quelles conséquences tout cela aura sur un pays qui ne donne plus le sentiment de vouloir aujourd'hui gober n'importe quoi !
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