HITLER et ses nazis les plus enragés étaient prêts à tout sacrifier et cela dès le débarquement allié de Normandie, leur jeunesse et des vieillards comme des gamins tout juste aux portes de l'adolescence et issus des Jeunesses Hitlériennes ! Cette milice qu'ils avaient appelée de leurs voeux ils l'avaient baptisée du nom de Volkssturm (tempête du peuple). Mais ce peuple soumis comme le sont aujourd'hui certains d'entre nous face aux exagérations de la Macronie, ne se rendaient-ils pas compte qu'on était en train de les entraîner vers la mort ? Apparemment pas. Certains de ces jeunes combattants sans expérience, comme celui qui a accepté de témoigner (photo ci-contre) se souviennent de ce déluge de feu. Jeune rescapé des Ardennes en décembre 1944 il porte encore sur son visage les stigmates de ce que fut cette lutte acharnée, et il se souviendra longtemps de ce qu'on leur avait demandé alors que tout semblait compromis sinon perdu ! En septembre 1944, alors que l'armée allemande était désormais confrontée à quatre fronts, l'Allemagne devra faire face à une pénurie d'hommes, que ce soit pour se battre ou tout simplement pour faire fonctionner le Reich. Comme tous les hommes valides étaient déjà enrôlés ou qu'ils étaient morts victimes de leur naïveté, que des compagnies improvisées avaient été formées avec des marins ou des policiers il ne restait plus à HITLER que l'arme du désespoir. Le 25 septembre, trois mois après le débarquement allié de Normandie il décidera donc de composer une milice populaire composée de tout homme de 16 à 60 ans.

Alors que les premières missions de cette milice étaient à l'automne 1944 d'effectuer des opérations de garde et de veiller à la défense de l'Allemagne elle-même dans des villes comme Berlin ou Munich, les vrais soldats ayant été mobilisés aux quatre coins de l'Europe, il s'est très vite agi d'employer par la suite au milieu des quelques combattants âgés de 50 à 60 ans des gamins seulement âgés de 13 à 16 ans (photo ci-contre) et cela à bien autre chose qu'au départ mais sans les doter d'un armement suffisant. Ce sera le cas à Berlin quand il s'agira de défendre les abords du bunker où s'était retranché Adolf HITLER. On évoquera par la suite 200.000 tués, certains ayant trouvé la mort pendant l'assaut de l'Armée rouge à Berlin de façon parfaitement inutile puisque leur Führer choisira de s'y donner la mort à la fin avril 1945. On le reconnaîtra après coup, l'espérance de vie de tous ces gamins ne dépassait pas un mois et on avait été jusqu'à leur demander de se battre pour les femmes et les enfants ! Que de manipulation !