• Pédocriminalité : Friedrich von Balluseck, le pédophile nazi

    Friedrich von Balluseck, le pédophile nazi

    Son nom ne revient pas souvent chez les prédateurs nazis et pourtant... Pourtant ce capitaine nazi a été condamné à six ans de prison à Berlin en 1957 pour des agressions sexuelles commises sur des enfants. On sait aujourd'hui qu'au cours des années 1930 et après l'arrivée d'HITLER au pouvoir, des médecins nazis et pas seulement MENGELE sur des jumeaux avaient fait des expériences sur des enfants autochtones placés dans des camps de la mort dirigés par le gouvernement canadien et des pensionnats indiens. Plus de 55 000 enfants auront ainsi été assassinés. Pire, la presse allemande a qualifié le dénommé von BALLUSECK de pire criminel sexuel depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale car ses expériences se sont déroulées pendant une vingtaine d'années et jusqu'en 1956

    Friedrich von Balluseck, le pédophile naziIl convient de savoir qu'après la guerre, un homme que l'on a décrit comme perturbé sexuellement : Alfred KINSEY (ci-contre) avait fondé le Kinsey Institute auteur d'un « Kinsey Report », lequel a beaucoup influencé la manière dont les gens approchaient la sexualité. Des recherches qui ont même été financées dès 1941 par la Fondation ROCKFELLER. Le problème, c’est que pour développer sa pensée, KINSEY s’était appuyé sur des informations fournies par des pédophiles actifs en affirmant que les enfants avaient une sensibilité sexuelle dès leur enfance. On croirait entendre Pape N'DIAYE ! Pour faire de telles affirma-tions, il s’était fondé sur des détails fournis par des personnes qui avaient eu des contacts sexuels avec des enfants répertoriés dans son livre Sexual Behavior in the Human Male. Une des sources de KINSEY dans les années 1943 et donc pendant la guerre, était un officier allemand nazi, Fritz von BALLUSECK (en tête d'article), qui sera condamné en 1957 pour les viols qu’il avait perpétrés sur des mineurs pendant plus de trente ans. Des atrocités qui auraient également été commises sur des enfants polonais qu'on aurait conduits dans les camps vers la mort s'ils n'avaient pas accepté de se prêter à ces expériences.

    Pendant l’audience en 1957, le juge avait eu l’impression que Friedrich von BALLUSECK avait violé des enfants pour impressionner KINSEY et lui fournir des données. Des articles de journaux allemands de 1956 et 1957 indiquent que von BALLUSECK a même été pendant un certain temps suspect du meurtre d'une fille nommée Liselotte HASS et que ce n'est que plusieurs mois plus tard, qu'il a été reconnu coupable d'abus sexuels sur un certain nombre d'enfants, mais sans qu'il soit question du meurtre qui lui avait valu d'être suspecté. Le problème déontologique qu’avait eu KINSEY lors de la collecte des données, c’est que ses sujets d’étude étaient principalement des délinquants sexuels et des prostituées et KINSEY avait oublié de le dire en faisant passer ses sujets d’étude pour représentatifs de la société dans sa globalité. Du coup, le vice de ces pervers est passé, et passe toujours, pour une norme.  D’ailleurs, un film portant son nom et à gros budget tourné en 2004 a fait l’apologie de ses théories, avec l'acteur Liam NEESON dans son rôle. Pour conclure KINSEY n’était pas une bonne personne comme on le croit même s'il a travaillé pour l’état profond. Comment en est-on arrivé là ? Pour KINSEY, « le seul acte sexuel non naturel est celui qu’on ne peut faire ». Il a été l’un des premiers à banaliser certaines moeurs, mais aussi l’acte pédophile dans l’inconscient de certaines personnes. Logiquement, il a été repris par divers lobbies et des pratiques de sexe en groupe, de sado masochisme avaient existé et KINSEY avait encouragé ses collaborateurs à faire de même. Cela a donné lieu à des séances d’accouplement de groupe filmées auxquelles les dits collaborateurs étaient pour ainsi dire obligés de participer. Mais, il a surtout planché sur ce qu’il appelait la « sexualité infantile ». Avec des tests grandeur nature à vomir. L’une de ces victimes, soixante-dix ans après les faits, a expliqué qu’elle avait été violée par son père et son grand-père de manière répétée depuis ses 7 ans. Elle a réclamé une enquête du congrès sur ces expériences et dit que son père avait un chronomètre en main pour calculer combien de temps elle mettait à avoir un orgasme. On disait que toutes les petites filles faisaient cela avec leur père, mais qu’on en parlait pas. En outre, les scènes étaient souvent filmées et les films étaient envoyés chez KINSEY. Elle a ajouté que son père et son grand-père étaient payés par lui pour mener cette « étude » et que son grand-père était un ami personnel de KINSEY depuis l’université, dans les années 20. 

    Alfred KINSEY qui passe toujours et faussement pour le « père de la révolution sexuelle » ou le « pionnier de la recherche sur la sexualité » n'est donc en fait qu'un pseudo scientifique aux méthodes barbares passant pourtant pour une référence en matière de sexualité. Si aujourd’hui, la théorie pédophile qui veut que les enfants recherchent des rapports sexuels avec les adultes n’est pas encore enterrée, c’est aussi parce que beaucoup de recherches se basent encore sur les délires d'Alfred KINSEY. Zoologue spécialiste de l’étude des insectes, il s’est targué d’étudier les penchants sexuels humains, nous dit-on. Il a donc publié les « rapports Kinsey », qui hélas servent toujours de référence, notamment aux pédophiles, mais aussi aux adeptes de la « théorie du genre », qui sont aujourd’hui en train d’imposer des cours sur la sexualité de plus en plus tôt chez les enfants. Comme notre ministre de l'Education nationale et la Macronie et bien que l'on subisse de multiples dérives aujourd’hui comme la pornographie, les transgenres, la pédocriminalité cachée et d’autres pratiques non naturelles comme dans la Familia grande d'Olivier DUHAMEL. Sous prétexte d’émancipation après la guerre, la démocratisation du sexe hors cadre du couple a prit des proportions malsaines qui nous paraitrait presque saine maintenant.


     

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