• Klaus Schwab, un fils de collabo nazi ? Les chiens ne font pas des chats

     Klaus Schwab, le fils d'un collabo nazi

    Klaus Schwab, un fils de collabo nazi ?

    Devenu l'un des porte-parole des affairistes mondiaux de tout poil, on ne savait pas grand-chose sur lui jusqu'à ce que certains curieux comme le journaliste Guy BOULIANNE entreprennent de rechercher quel avait pu être son profil et d'où il sortait exactement. Quelle avait pu être, en un mot, son enfance et le milieu où il était né. Et le profil de ce Klaus SCHWAB (photo ci-contre) est tout compte fait loin d'être aussi idyllique que celui que l'on attendait d'un homme appelé à côtoyer les plus grandes personnalités du pouvoir de la planète et dont les plans sont quelque peu dérangeants. Du moins si l'on s'en tient à ce grand remplacement (The Great Reset) et à un projet fasciste défendant une fusion des états et de leurs entreprises. A tel point que les plans machiavéliques de l’élite mondiale malfaisante qu'il commande seraient non seulement une réalité, mais désormais publiés noir sur blanc. C'est du moins ce que croient savoir des Français adhérant aux théories d'un prétendu complot qui a pris davantage forme depuis l'arrivée de la COVID19 et... d'une vaccination à outrance ! Et ces plans machiavéliques de l’élite mondiale malfaisante seraient non seulement une réalité, mais ils seraient publiés noir sur blanc. C'est du moins ce que croient savoir des Français adhérant aux théories de ce prétendu complot. The Great Reset (La Grande Réinitialisation) un livre sorti dans un relatif anonymat à l’été 2020, est d'ailleurs devenu un sujet de discussion majeur dans cette prétendue « complosphère ». D'autant que ce sujet est mis en oeuvre par le Forum Economique Mondial de Davos que dirige justement ce nouveau gourou des temps modernes du nom de Klaus SCHWAB.

    Né en 1938 à Ravensburg en Allemagne avant la guerre, Klaus SCHWAB est un enfant de l’Allemagne d’Adolf HITLER et d'un état nazi s'appuyant sur un régime policier fondé sur la peur, la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, ainsi que sur la propagande et le mensonge, mais aussi sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », et sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui devait durer mille ans et qui a dû fort heureusement renoncer à ses projets en mai 1945. Habitué dès son plus jeune âge à la violence nazie, on dirait que SCHWAB cherche depuis à réinventer un cauchemar analogue avec une vision fasciste qui ne pouvait l'entraîner, avec le temps, qu'à aimer côtoyer des apprentis dictateurs comme Emmanuel MACRON ou quelques autres et pire encore à être sensible à des théories eugénistes. Avec le souhait de privilégier une police capable de lire dans nos corps grâce à des vaccins susceptibles d'implanter en nous de véritables puces, une technique qu'il évoque dans l'extrait d'entretien qui suit. Et à ce propos, le cauchemar Covid19 est d'une utilité rare puisqu'il facilitera selon certains observateurs l'implantation dans nos corps de ces puces. Certes, SCHWAB est loin d'être quelqu'un de comparable à ces nazis du passé et quelqu'un de sensible à des thèses antisémites d'extermination comme l'était un certain Heinrich HIMMLER. D'ailleurs, antisémite, il ne l'est pas et le pire c'est qu'Israël lui a même décerné un prix en 2004. D'origine juive ashkénaze il descend comme tous les siens des anciens Khazars lesquels s'étaient convertis en masse au judaïsme au Moyen Âge à la suite de leur roi. De nouveaux noms de famille héréditaires ont été adoptés, des noms dérivés de lieux devenus particulièrement courants chez eux. Le nom de famille SCHWAB désignait à l’origine la propriété d’un domaine ou d’une influence au sein d’un village. C'était un nom régional pour une personne originaire de la Souabe, dérivé du mot germanique Schwaben, qui signifie Souabe.

    Klaus Schwab, un fils de collabo nazi ?

    Quand Adolf HITLER est arrivé au pouvoir, beaucoup de choses ont changé en Allemagne, et l’histoire de la population juive de Ravensburg a dû subir bien des interdits. Mais le père de Klaus SCHWAB, Eugen, a continué d’être le plus gros employeur de Ravensburg, sans doute aussi parce que son entreprise avait pu être aryanisé grâce à son épouse. Employeur important dans la ville, le propre parti d’HITLER décernera même ensuite à la succursale Escher-Wyss d'une société suisse implantée à Ravensburg le titre de "Société modèle national-socialiste" alors que le père de Klaus SCHWAB, Eugen était toujours à la barre. Il continuera à gérer la « Société modèle national-socialiste » pour Escher-Wyss, cette société suisse qui aidera la Wehrmacht nazie à produire des armes de guerre importantes ainsi que des armements plus basiques. La société Escher-Wyss était d'ailleurs à l'époque un leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, qui fabriquait également des pièces pour les avions de chasse allemands. Ils étaient également intimement impliqués dans des projets beaucoup plus sinistres se déroulant dans les coulisses qui, s’ils étaient achevés, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Et pire, Eugen SCHWAB fera même travailler des travailleurs forcés dans son entreprise nazie modèle. Le père de Klaus avait dit au jeune SCHWAB que s’il voulait avoir un impact sur le monde, il devrait suivre une formation d’ingénieur en machine. Ce ne sera que le début des diplômes universitaires obtenus par Klaus. Octogénaire, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, avec sa tête de batracien SCHWAB pilote aujourd'hui une organisation comme une araignée sur une toile géante. Avec un projet fasciste initial, en Italie comme en Allemagne, consistant en une fusion de l’État et des entreprises. Alors que le communisme envisageait lui une prise de contrôle des entreprises et de l’industrie par un gouvernement. Ingénieur et économiste de formation, le professeur Klaus SCHWAB est titulaire de doctorats en économie de l'Université de Fribourg, en ingénierie de l'EPF et d'un master en administration publique de la Kennedy School of Government de l'Université de Harvard. En 1972, il est devenu l'un des plus jeunes professeurs de la faculté de l'Université de Genève. Il a reçu depuis de nombreuses distinctions internationales et nationales.

    Une image de gourou des temps modernes qui pourrait faire froid dans le dos tant il est lié à quelque chose qui pourrait être une sorte de "grand dérangement" sur fond de fascisme raisonnable si tant est que le fascisme puisse être quelque chose de raisonnable !

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