Sans que ces mougeons français (ci-contre) proposés récemment par un humoriste l'entendent, l'ancien capitaine Alexandre JUVING-BRUNET avait lancé un appel le 18 avril dernier, juste avant le second tour des présidentielles et la réélection contestable d'un président pourtant haï comme jamais un responsable ne l'avait été dans notre pays. Des élections auxquelles ce capitaine n'avait pu participer faute d'avoir obtenu les 500 parrainages exigés, ce qui est bien regrettable. Surtout au vu des messages d'un homme qui, issu de l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr et après avoir été capitaine d'un escadron de gendarmerie, venait de se distinguer aux commandes d'une entreprise de technologie. Alexandre JUVING-BRUNET s'était fait connaître lors de l'envoi d'une lettre ouverte au Ministère des Armées et un peu plus encore le 18 avril dernier par cet appel qui le voyait regretter qu'un homme comme notre président, qui traînait autant de casseroles derrière lui, autant sociales que financières, puisse être réélu à la tête d'un pays comme la France. Le 19 avril dernier, soucieux du devenir de son pays à la veille du second tour, il était revenu annoncer lors d'une conférence de presse la création de son nouveau parti : LE PEUPLE DE FRANCE et de représentants censés "secouer la casbah" afin de mobiliser davantage les quelque 30% d'électeurs qui s'étaient abstenus le 10 avril, ne trouvant pas de réponses à leurs préoccupations auprès des candidats qui s'étaient alignés aux élections. C'est pour lui une nouvelle offre politique qui est présentée aux Français car il lui paraît important d'éviter une guerre civile, guerre qui dans les prochaines semaines pourrait résulter d'une réélection contestable.

Interviewé par le journaliste Nicolas VIDAL, son dernier entretien du 5 mai donne un complément d'éclairage sur un homme décidé à envoyer à l'Assemblée Nationale des représentants de ce PEUPLE DE FRANCE singulièrement oublié par des élites corrompues. Il évoque également la guerre Russo-Ukrainienne et les nombreux dérapages commis par l'OTAN qui auront entraîné cette réaction russe en Ukraine.