• Athlétisme... Jarmila Kratochvílová, le transsexuel d'avant...

    Jarmila Kratochvílová, l'ancêtre des transsexuels tricheurs...

    Athlétisme... Jarmila Kratochvílová, l'ancêtre des transsexuels tricheurs...

    Avec sa musculature impressionnante qui se souvient aujourd'hui de la (ou le) slave KRATOCHVILOVA dont la foulée masculine avait ému tous les spécialistes en des temps où le mari de notre président en était encore à peaufiner ses interrogations quant à un possible changement de sexe ! De ce début des années quatre-vingt dont il reste un record de 1'53''28 qui sera difficilement améliorable il ne subsiste que des regrets ! Ceux de pas avoir su s'élever au cours de ces années-là contre une société wokiste déjà très critiquable qui n'entendait pas que l'on conteste les performances d'athlètes pour le moins discutables et c'est ce manque de réactivité que la boxeuse italienne Angela paye aux Jeux de Paris face à un transsexuel algérien qui l'aura battue irrégulièrement car il n'aurait jamais dû s'y aligner. Les Tchèques ne s'y trompent d'ailleurs pas quarante-quatre ans après cette compétition d'Helsinki qui, malgré les critiques de Jarmila, désignent son record, avec un certain sens de la formule, comme "le plus poilu des records du monde".

    Athlétisme... Jarmila Kratochvílová, le transsexuel tricheur d'avant...

    Sacrée champion(ne) du monde sur 800 mètres, en un chrono (1'54.68) qui reste la 5e meilleure performance de tous les temps, cette compétition avait eu lieu 35 minutes à peine après une demi-finale du 400 mètres déjà dominée de la tête et de ses (larges) épaules, à la veille d'un second sacre sur le tour de piste ! Un 400 mètres qu'elle courra en 47''99 ce qui confirmait sa suprématie d'alors. Aujourd'hui, plus personne ne court aussi vite et pour cause, les transsexuels sans doute plus surveillés étant plus rares à concourir et à risquer d'être repérés. Même si Caster SEMENYA s'y est essayé avant, elle aussi, d'être montrée du doigt et désavouée. Après ses exploits passés, celle que l’on surnomme Kratoch s’emmerde dans ce qui reste de la Tchécoslovaquie d'antan. La bouche fermée, les lèvres pincées, son visage s’est creusé, durci, et ses cheveux noirs corbeau n’arrangent rien. Le regard sombre, deux petits yeux enfoncés évitent tous les regards de crainte d’établir probablement un contact donnant le sentiment que l'ancienne championne est mal dans sa peau. Sans doute Jarmila vit elle mal toutes les suspicions qui perdurent soixante ans après.

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