•  Hitler, Staline, Franco... Qui sont-ils ces dictateurs ?

    Leur liste est plus longue qu'on ne le croit, d'autant qu'une nouvelle vague de dictateurs est arrivée qui, sous des apparences plus soft, caressent les mêmes espoirs d'asservissement des populations dont ils ont réussi à prendre le contrôle. Ce qui est le cas chez nous en France avec le psychopathe Emmanuel MACRON, par ailleurs fidèle admirateur du leader nazi Klaus SCHWAB qui se rapproche de plus en plus de stratégies dictatoriales ! Des gens qui s'appuient toujours sur les mêmes ingrédients en suggérant d'abord la peur avant d'en venir à des méthodes d'extermination moins regardantes comme l'affaire du Rivotril car dès lors qu'il s'agit de réduire des oppositions, tout est bon à prendre !

    Connu simplement sous le nom de “Franco”, le général Francisco FRANCO, qui a remporté la guerre civile espagnole en 1939, a exercé, lui, l’une des plus longues dictatures d’Europe, dirigeant l’Espagne pendant 36 ans, jusqu'à sa mort en 1975. En Espagne, à peu près à la même période qu'en Allemagne où HITLER était enfin parvenu à ses fins, le pouvoir était en effet à bout de souffle et c'est son abandon par le roi Alphonse XIII qui aura été le déclencheur de tout un ensemble de faits qui profiteront finalement à Francisco FRANCO en février 1936 (Photo en tête d'article). Un homme ambitieux pourtant sans réelles convictions politiques. Sans doute l'opposition au roi était telle qu'elle ne pouvait que favoriser l'apparition de nouveaux courants situés plus à gauche et surtout l'apparition de communistes dont FRANCO ne voulait pas. Il est vrai aussi qu'au lendemain de la première guerre mondiale, un tiers des Espagnols vivaient dans la misère. Bien que la droite soit revenue au pouvoir en novembre 1933 et qu'elle s'y soit maintenue jusqu'en février 1936 et l'arrivée à la tête de l'Espagne des Républicains et d'un Front Populaire ou "Frente Popular". Un Front résolument décidé à s'inspirer de ce qui avait déjà pu être fait avant le retour au pouvoir de la droite en 1933 avec, notamment, une meilleure répartition des terres agricoles, en voulant étendre le droit de vote et cette fois-ci amnistier les prisonniers politiques, ce qui entraînera une réaction d'un général encore peu connu Francisco FRANCO qui s'était jusqu'alors surtout distingué au Maroc, lors de la guerre du Rif une colonie espagnole, et qui avait réussi à mater des insurgés qui avaient voulu proclamer leur indépendance. Des faits qui lui vaudront de devenir général, et même plus jeune général d'Europe à 33 ans. C'est aussi par défi à son père, et une façon de lui montrer qu'il valait mieux que ce qu'il avait cru que le jeune FRANCO avait très vite voulu se distinguer. C'est aussi la répression d’une insurrection révolutionnaire, qui aura principalement lieu dans la région des Asturies qui l'aidera à conquérir le pouvoir. Bénéficiant du soutien de l'armée d'Afrique, et cela alors que la gauche au pouvoir l'avait écarté et nommé gouverneur militaire aux Canaries, il franchira le détroit de Gibraltar avec ses troupes et remontera vers Madrid et Tolède en juillet 1936, cinq mois après les élections et l'arrivée aux commandes du "Frente popular". On admet aujourd'hui que l'assassinat du dirigeant monarchiste Calvo SOTELO ait pu faire basculer FRANCO qui n'était pas encore prêt à s'imposer lorsqu'il avait été envoyé aux Canaries. Les Républicains chassés du pouvoir par des nationalistes phalangistes et leurs alliés ne pourront dès lors que s'incliner, d'autant que le général FRANCO bénéficiera du concours de l'Allemagne de HITLER et de l'Italie de MUSSOLINI. Une aide qui reste attachée au bombardement de Guernica par l'aviation nazie. Pour le nouveau maître de l'Allemagne, le conflit espagnol sera même un moyen de tester les forces de l'armée dont il disposait déjà et qui attendait de pouvoir s'illustrer plus largement comme il le fera trois ans plus tard en Pologne. Après avoir assuré son pouvoir FRANCO proposera à HITLER d'entrer en guerre à ses côtés, mais ce dernier qui n'en avait pas besoin à ce moment-là, négligera cette proposition.

    Hitler, Staline, Franco... Qui sont-ils ces dictateurs ?

    Avec l'avènement de la dictature franquiste au cours de juillet 1936 et des journées suivantes, ce sont 500 000 Espagnols qui mourront et des milliers d'opposants au nouveau régime qui seront emprisonnés dans des camps fuyant quand c'était possible les franquistes. Toutes les libertés syndicales seront suspendues et c'est un régime d'ordre moral où la presse et l'édition étaient surveillées par une stricte censure qui dirigera longtemps l'Espagne. La répression continuera bien après la guerre. On continuera à beaucoup exécuter au cours des années suivantes en faisant appel à des méthodes encore plus barbares que la guillotine puisqu'avec le garrot et un étranglement progressif, le condamné agonisera de longues minutes durant (extrait vidéo ci-dessous). Pour les historiens, ce serait près de deux cents mille condamnés qui auraient péri ainsi durant la dictature franquiste. Le garrot avait déjà derrière lui une longue existence lorsqu’il est devenu par ordonnance royale en date du 24 avril 1832 le seul moyen par lequel on infligeait la peine de mort en Espagne. Avec un écrasement du larynx, les bourreaux savaient doser leur vitesse pour faire mourir plus ou moins lentement le condamné. La moelle épinière cervicale atteinte, un coma cérébral se produisait et la mort était instantanée. Mais cela dépendait en grande partie de la force physique du bourreau et de la résistance du cou du condamné, et l'expérience a montré qu'il en était rarement ainsi, la mort étant généralement due à une strangulation résultant d'une série de lésions laryngées. Pour avoir blessé mortellement un policier, le militant anarchiste catalan PUIG ANTICH sera l'un des derniers à être exécuté à la Modelo à Barcelone après avoir été jugé par une cour martiale. Condamné à mort il sera lui aussi exécuté le 2 mars 1974 par strangulation à l’aide d’un garrot. L'Espagne abolira ce supplice horrible après la mort de FRANCO qui sera peu utilisé après 1974 ; on parle de cinq autres condamnés à avoir subi un garrottage. Au début des années cinquante, et grâce à un partenariat avec les Etats-Unis les contacts avec l'étranger amèneront les Espagnols à concevoir de nouvelles aspirations, à vouloir vivre comme leurs voisins : ils nourriront des exigences démocratiques, notamment en matière de liberté de la presse. 

    Le 20 novembre 1975, Le roi Juan-Carlos en démocrate convaincu reviendra au pouvoir décidé à mettre un terme à la dictature franquiste déjà passablement amoindrie depuis la mort du plus fidèle ministre de FRANCO, l'amiral Luis CARRERO BLANCO mort dans un attentat orchestré par les séparatistes basques. Mais deux des initiateurs de cette dictature : Jose Antonio Primo de RIVERA (1903-1936), fondateur de la Phalange et inventeur d’une variété locale du fascisme et Francisco FRANCO (1892-1975), surtout, le général en chef félon à l'origine des nombreuses tueries et surnommé par les siens le Caudillo (chef de guerre), dictateur durant quarante ans d’un pays en cendres, continuent encore aujourd'hui à entraîner des réactions. A tel point qu'on a dû se résoudre en Espagne à déplacer le corps de ce FRANCO qui était jusqu'alors enseveli dans un mausolée à sa gloire qu'il avait fait ériger en 1959. 

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  • Les lubies aryennes d'Heinrich Himmler

    Comment en est-on arrivé à cette folie aryenne à laquelle nous avions déjà consacré un article ? Et notamment sur des principes eugéniques qui avaient séduit les nazis après avoir vu le jour dès le début du vingtième siècle dans plusieurs pays ? Difficile à dire. Sans doute à cause de l'influence de certains esprits maléfiques comme Dietrich ECKART, Julius ROSENBERG, Jörg LANZ von LIEBENFELD, Guido von LIST qui s'étaient convaincus qu'il fallait revenir à une race pure et donc éviter les métissages qui avaient jusqu'alors prévalus. Et cela bien avant l'arrivée au pouvoir des nazis et d'HITLER. Ce qui supposait qu'il fallait également faire la chasse à tous ceux qui portaient les gênes de parents ou grands parents alcooliques, indigents ou faibles d'esprit. En encourageant en revanche les membres les plus distingués de la société à procréer. 

    Ces théories s'amplifieront après la prise de pouvoir d'HITLER en 1933 et un peu plus encore après la prise de fonctions au sein de la SS d'Heinrich HIMMLER. D'autant que ce dernier vouait une passion singulière pour la doctrine aryenne et tout ce qui aurait pu laisser croire qu'une race aryenne avait existé dans un lointain passé, race qui était pourvue d'attributs supérieurs et qu'il importait de faire revivre en partant d'éléments les plus purs possibles. D'après ceux qui entouraient le Reichsführer Heinrich HIMMLER, le sang qui coulait dans les veines des Allemands n'avait pas totalement disparu, il suffisait seulement d'amplifier la chose et de faire en sorte que l'accouplement de gens catalogués comme aryens et ayant un sang pur produise des surhommes. Lorsqu'il prendra en charge la SS, il instituera un bureau de la race avec des normes que ceux qui désiraient s'enrôler devaient respecter. Il convenait d'avoir une taille suffisante et un gabarit bien proportionné, d'être en pleine possession de ses moyens, croire en la loyauté et surtout d'être le descendant d'une lignée irréprochable. Une mesure qui sera rapidement étendue à l'ensemble du peuple qui se devait d'échapper à tout métissage suspect et d'éradiquer tous ceux qui étaient handicapés. Ce qui permettra aussi après les lois de Nuremberg de 1935 d'exclure tous ceux qui étaient suspectés d'avoir du sang juif en empêchant tous les mariages avec des juifs. Ceux qui étaient désireux de se marier devront passer un examen pour qu'on opère une véritable sélection. On en arrivera à stériliser et même par la suite à tuer tous ceux qui souffraient de carences physiques ou mentales. Ceux qui ne satisfaisaient pas aux normes d'exigence génétique retenues seront aussitôt dirigés vers les camps de concentration. En l'absence de dix ans, entre 1933 et 1943 ce seront 400 000 Allemands qui seront ainsi stérilisés. Mais Heinrich HIMMLER ne s'arrêtera pas là et il oeuvrera à la création de ces Lebensborn, unités faites pour que le Reich puisse compter sur davantage de naissances et où des SS en bonne santé pourront s'accoupler hors leur cellule familiale avec des femmes désireuses d'avoir des enfants.

    Les lubies aryennes d'Heinrich HimmlerLes objectifs poursuivis par Heinrich HIMMLER, un dangereux illuminé s'il en est, étaient d'arriver jusqu'à une création d'un ordre SS pur, une sorte d'état dans l'état nazi en s'inspirant eu besoin de ce qui était en vigueur au temps des chevaliers teutoniques. En 1934, les SS disposaient déjà de moyens conséquents et l'organisation était l'une des plus puissantes du Troisième Reich. HIMMLER fera donc rechercher hors d'Allemagne tous ceux qui étaient susceptibles d'avoir du sang aryen et fera appel pour le guider dans ses recherches à tous ceux qui avaient des compétences reconnues dans le domaine de la clairvoyance comme ce sera le cas de Karl-Maria WILIGUT (en photo ci-contre avec Himmler) qui se présentait comme étant le descendant d'une longue lignée de prêtres aryens. Sensible à de tels arguments, HIMMLER en fera très vite un général SS qu'il chargera de toutes les recherches entreprises dans le cadre de l'aryanité du peuple allemand. C'est avec WILIGUT que sera développé un centre de recherches dans le Palatinat à Paderborn où avait été érigé le château de Wewelsburg dont l'antériorité remontait au Xème siècle. C'est dans le cadre de ce château qu'HIMMLER créera en 1934 une unité mobile armée et entraînée de SS athlétiques aux qualités rompues et près d'engager les futures batailles qu'attendait de mener le Reichsführer.   

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  • Wilhelm Frick

    A Nuremberg il a fait partie des vingt-deux dignitaires nazis condamnés à mort ! Sans doute pour avoir été longtemps le responsable de la justice hitlérienne et donc pour avoir été directement impliqué dans les lois anti juives de Nuremberg de 1935. Mais n'oublions pas non plus qu'il avait figuré avec Hermann GOERING dans le premier gouvernement nazi dès la fin janvier 1933 aux côtés d'HITLER, de von PAPPEN, HUGENBERG et de quelques autres, une distinction pour cet homme de 56 ans.

    Wilhelm FrickDevenu un fervent nationaliste dès 1919 puis en 1923 responsable de la police munichoise, il s'illustrera dès la tentative de putsch d'HITLER en essayant d'empêcher une intervention de l'armée contre les putschistes, ce qui lui vaudra d'être arrêté et condamné pour haute trahison. Ce que le futur "fiancé de l'Allemagne" n'oubliera pas. D'autant qu'il fera partie des premiers membres du NSDAP. Il devra aussi sa nomination de ministre de l'Intérieur dans le tout premier gouvernement d'HITLER au fait que ses nombreuses responsabilités de député et d'homme politique au sein de la République de Weimar avaient tout pour rassurer un Président HINDENBURG qui avait longtemps hésité avant de nommer un nouveau chancelier fin janvier 1933. Sans participer à la Nuit des Longs Couteaux et à la condamnation d'Ernst ROHM, il participera à l'élaboration des premières lois anti juives. Promulguée en janvier 1938, une nouvelle loi ouvrira la voie à un décret du ministre de l'Intérieur nazi Wilhelm FRICK obligeant à partir du 1er janvier 1939 « les hommes et les femmes juifs à ajouter respectivement les prénoms Israël et Sara à leurs prénoms » officiels. Wilhelm FRICK sera ensuite progressivement écarté de la tête du pouvoir pour avoir tenté de demander que le Reich s'en tienne à une application plus stricte des lois, ce qui ne sera pas le cas. C'est son implication dans la politique d'extermination bet de stérilisation qui lui coûtera sa tête en 1946.

    Le reportage ci-dessous revient sur cette Allemagne traumatisée par une fin de conflit dramatique en novembre 1918 et sur ce qui a été à l'origine de la montée en puissance d'Adolf HITLER et des nazis, un courant que l'on pensait avoir détruit en 1945 et qui, hélas, refait surface aujourd'hui autour de la Macronie.

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  • L'horrible disparition d'Elodie Kulik

    L'horrible disparition d'Elodie KulikL'affaire avait fait grand bruit à Péronne et il avait fallu beaucoup de patience aux enquêteurs avant de pouvoir rattacher le meurtre de la jolie directrice d'agence bancaire de 24 ans à des assassins dont on avait eu qu'une maigre idée en écoutant la bande de l'appel au secours qu'avait lancé Elodie KULIK avant d'être violée et assassinée en cette nuit du 11 janvier 2002. Un appel glaçant envoyé aux pompiers d'Amiens qui ne permettra pas à ceux-ci d'intervenir faut de détails précis. Avant que le 12 janvier suivant on retrouve le corps en partie calciné d'Elodie à environ 6 km du lieu de l'accident et donc assez loin de son véhicule. La jeune femme semble avoir reçu les pires sévices au grand désespoir d'un père Jacky (ci-contre) qui se jurera de tout mettre en oeuvre pour que l'on retrouve les salauds qui avaient fait ça ! Très appréciée dans son entourage, il était difficile de comprendre quelles avaient pu être les motivations de l'assassin. Etait-ce l'acte d'un amoureux éconduit ou la conclusion d'une rencontre fortuite qui aurait mal tourné ? Au point que l'hypothèse d'un tueur en série sera longtemps sur toutes les lèvres poussant les gens à ne plus sortir le soir ! D'autant que, durant l'enquête, un autre corps de femme, celui d'une certaine Patricia LECLERCQ, sera retrouvé à une trentaine de kilomètres de là. Une découverte suivie de celui de Christelle retrouvé en août 2002.

    Rien ne sera laissé pourtant au hasard et puisqu'on avait pu isoler l'ADN de l'un des tueurs après avoir retrouvé le cadavre de la jeune femme, on essaiera de recueillir une concordance de cet ADN en prélevant celui des nombreuses personnes qu'elle fréquentait en Picardie mais sans que dans un premier temps on réussisse à trouver une concordance. On réussira aussi à savoir qu'Elodie KULIK après pris la route à 23h40 après un repas pris au restaurant avec un ami et que c'est à minuit 21 qu'elle avait tenté d'appeler au secours les pompiers d'Amiens alors qu'elle était encore dans sa voiture. Sur la bande d'enregistrement, les enquêteurs parviendront à localiser deux voix d'homme, visiblement les auteurs de l'homicide et d'un viol et qui tenteront de brûler le corps de la jeune femme après coup. Vérification faite, l'ADN retrouvé sur les lieux du crime restera inconnu. La seule chose que les enquêteurs réussiront à déterminer après avoir fait nettoyer la bande son de l'appel au secours sera que les auteurs de l'agression étaient des gars du coin que leur accent picard trahira. Mais après neuf années de recherches diverses, rien n'aboutira.

    L'horrible disparition d'Elodie KulikEn 2011, un jeune lieutenant-colonel travaillera sur cette affaire, il s’agit d’Emmanuel PHAM-HOAI. Il n’est pas habitué aux scènes de crime, mais il vient d’une famille de soignants. Il a également été biologiste et ses études le poussent à s’intéresser de très près aux techniques d’ADN. C’est en se documentant dans la bibliographie scientifique, qu’il découvrira qu’aux États-Unis, un violeur et tueur en série qui sévissait près de Los Angeles a été identifié par l’intermédiaire de l’ADN de son fils dans une affaire également complexe. Et ces recherches menées autour d'une IDN apparentée porteront leurs fruits permettant d'approcher les WIART, une famille qui avait perdu un certain Grégory décédé en 2003 (photo ci-contre) et qui sera finalement identifié comme étant l'auteur de l'assassinat d'Elodie KULIK. Grâce à la bande son de l'appel au secours de la jeune femme, les enquêteurs isoleront une seconde voix et après avoir étudié la personnalité de Grégory WIART et avoir procédé à quelques interpellations, ils parviendront à identifier cette voix comme étant celle d'un dénommé Willy BARDON, un copain de Grégory. A l'issue de sa garde à vue, il sera aussitôt mis en examen pour enlèvement, séquestration, viol et meurtre d'Elodie KULIK. Bien que BARDON ait nié être cette voix, l'ex-compagne de Grégory entendue par les enquêteurs leur confirmera l'avoir néanmoins reconnue sur la bande son.

    L'horrible disparition d'Elodie KulikQui aura tué la jeune femme ? Grégory WIART, Willy BARDON voire un troisième homme que l'on ne parviendra pas à identifier ? Bien que clamant son innocence, et condamné en première instance en décembre 2019 par les Assises du Nord, Willy BARDON (photo ci-contre) sera à nouveau condamné en appel à trente ans de réclusion criminelle par la Cour d'assises du Nord en juin 2021 pour l'enlèvement, la séquestration, le viol et le meurtre d'Élodie KULIK. A l’annonce du verdict, il tentera de mettre fin à ses jours dans le box des accusés en avalant très rapidement le contenu d’une bouteille, sous les yeux d’un public, venu nombreux assister à l’audience. Ses avocats ne souhaiteront faire aucun commentaire sur cet incident. Après avoir été libéré de prison à la suite d'un recours déposé auprès de la Cour Européenne des Droits de l'Homme en avril 2023, Willy BARDON a été assigné à résidence avec le port d'un bracelet électronique et il est donc en attendant une nouvelle décision toujours considéré comme présumé innocent.

     

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