• La dictature du sucre

    Il fut un temps où les incitations ne manquaient pas ! Le plus petit des grands désirs !, disait-on ou, voire encore : Quelle énergie dans le sucre !...

    Mais c'était aux temps d'avant. A une époque où le sucre n'était pas encore montré du doigt. Sans que l'on soit conscient que ce désir est aujourd'hui devenu synonyme de drogue. Une drogue qui serait même plus recherchée que la cocaïne, c'est dire ! Ce que démontre une expérience de laboratoire menée sur des rats qui seraient même prêts à se battre entre eux pour avoir accès à leur dose régulière de sucre.

    Sauces tomate conditionnées avec du sucre, sodas vendus parfois à des coûts attrayants, aliments transformés et ajouts intempestifs de glucose-fructose, pièges contenant des glucides en quantité manifeste... Sans sucre, la vie ne serait-elle donc que frustration et déprime ? Indéniablement si l'on regarde le début du reportage qui suit. Un reportage de "Complément d'enquête" qui aide aussi à voir clair sur les motivations de ces grands groupes qui nous empoisonnent sans que nous en soyons toujours conscients. Parce que nous consommerions en moyenne, par personne, une centaine de grammes de sucre par jour, certains allant même jusqu'à 240g. Conséquence première de cet excès d'ingestion, le diabète avec, de 425 millions de diabétiques dans le monde l'an passé et une projection qui atteindrait en 2045, 629 millions d'entre nous ! Au Mexique où la firme Coca-Cola a réussi à mettre en place une véritable adulation de ses produits, jamais autant l'obésité n'a atteint de pareils niveaux ! Des données qui font frémir et qui devraient faire réfléchir. Surtout à l'approche des fêtes de fin d'année et des orgies répétitives qu'elles sous-entendent en termes de consommation de friandises.

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  • Le suicide "organisé" de Pierre Bérégovoy

    L'étrange suicide "organisé" de Pierre BérégovoyLe 1er mai 1993 à Nevers mourait l'ancien Premier Ministre Pierre BEREGOVOY sans que, depuis, une enquête sérieuse ne revienne sur ce prétendu suicide. Prétendu, parce que ce suicide aura été annoncé trop tôt, dès 20h00 selon le journaliste Dominique LABARRIERE. Dans un ouvrage publié chez LA TABLE RONDE (ci-contre), il était revenu sur cette affaire dix ans après les faits. En effet, avant même que l'on rapatrie le corps de l'ancien Premier Ministre du Président MITTERRAND à l'Hôpital du Val-de-Grâce, pour, semble-t-il, traiter cette affaire et les questions qu'elle ne manquait pas de poser, ce suicide sera annoncé. Dès 19H30 et avant que l'on revienne dessus en admettant que l'ancien haut responsable était dans le coma.

    Que cette thèse du suicide ait pu être officialisée avant même que l'on mène une enquête approfondie ne manque pas de choquer, même longtemps après cette disparition. L'auteur de l'ouvrage publié se demande pourquoi on a pas cherché à diriger le corps de Pierre BEREGOVOY vers l'Hôpital de Nevers afin de lui apporter les premiers soins avant de le diriger vers le Val-de-Grâce ? Comme si on avait voulu perdre du temps et tout mettre en oeuvre pour ne pas le sauver ! D'autres questions ne manquent pas. Notamment celle de savoir pour quelle raison, aucun rapport d'autopsie n'avait jamais été publié, même à la demande de ses proches ? Reste aussi l'énigme autour de ce carnet noir que l'on a pas réussi à retrouver dans l'une des poches de son veston, ce carnet dans lequel l'ancien ministre notait tous ses rendez-vous ? A 17H50, vingt minutes avant que le ministre se donne la mort, dans un reportage réalisé par FR3 Bourgogne lors de la remise de distinctions sportives à Nevers, on voit encore un Pierre BEREGOVOY détendu remettre dans la poche de son veston ce carnet noir qui disparaîtra curieusement après coup. Il y a bien quelqu'un qui aura eu entre les mains cet agenda, déplorera le journaliste Dominique LABARRIERE. On a également parlé d'un acte de désespérance et d'une tendance dépressive de l'intéressé, alors qu'on a laissé à sa portée un Magnum 357 dans la boîte à gants de sa voiture ! Cela en oubliant de préciser que deux impacts de balle de plus petit calibre (6.35 ou 7.65) avaient été retrouvés sur le corps, ce qui démontrerait que ce n'est pas le Magnum 357 qui aurait servi au suicide mais une autre arme jamais retrouvée sur le chemin de halage du canal de la Jonction à Nevers. Ce qui laisse supposer que c'est bien un échange qui avait été prévu sur les bords de celui-ci avec l'ancien ministre et des hommes venus récupérer des documents et non les deux tueurs qu'il aura trouvé devant lui ! Une version accréditée par le témoignage tardif d'un auteur-compositeur, un certain Pascal MORNAC qui aurait entendu deux coups de feu non loin du drame et qui aurait été sommé de dégager par deux individus qui n'avaient rien à voir avec le garde du corps Sylvain LESPORT. On notera qu'une enquête diligentée par les Renseignements Généraux et menée par l'ancien directeur départemental des RG de la Nièvre, a conclu en 2001 à un assassinat. Mais sans qu'aucun élément matériel ne puisse accréditer cette thèse.

    Alors, qui aura fait tuer BERE ? Au-delà de cette histoire de chiens jetés en pâture par Tonton MITTERRAND lors des obsèques de l'intéressé, qui reste un très grand moment d'hypocrisie, il est aujourd'hui admis que l'homme du Franc fort au sein du SME ait pu avoir des projets présidentiels, et cela dès 1987, et qu'il ait subitement pu devenir dangereux pour certains de ses "amis" socialistes. D'autant que son discours d'intronisation à l'Assemblée Nationale en 1992, foncièrement anti corruption, avait été mal perçu et qu'il convenait donc de le "mouiller" pour l'empêcher de nuire et de révéler les noms qu'il détenait sur "une liste" qu'il avait brandie devant les parlementaires. Sans doute en livrant des informations à un média comme le Canard enchaîné quant à l'octroi de ce prêt de 1 million de francs par l'un des amis du Président, un certain Roger-Patrice PELAT. Lequel avait été mêlé à une affaire scabreuse de délit d'initiés mettant en cause un grand nombre d'intermédiaires financiers et quelques hauts responsables comme le directeur de cabinet de BEREGOVOY, un certain Alain BOUBLIL. Une trame qui aura servi à fabriquer l'un des mensonges d'Etat les plus rocambolesques de ces dernières années !

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  • Adolf Hitler, l'un des personnages les plus toxiques qui aient existé !

    Celui dont on reconnaît qu'il est l'un des pervers narcissiques les plus dangereux qui aient jamais existé, Adolf HITLER, se décrivait lui-même comme un être investi d'une mission. Un être qui croyait à l'existence passée d'une force néo-païenne qu'il se devait de ressusciter et qui aurait passé, selon certains religieux, un pacte avec le diable. Au pont que le pape Pie XII lui-même avait envisagé de l'exorciser. Un homme qui depuis son plus jeune âge adorait se faire appeler Herr Wolf, Wolf étant la traduction allemande de loup et qui expliquait sa passion pour les chien-loup. Il croyait que sa tâche était de donner la vie à une nouvelle humanité en s'appuyant sur un emblème indo-européen : le svastika, à l'origine un symbole solaire dont il fera un fera un symbole de terreur et de mort après l'avoir redessiné. Alors que ce svastika avait jusqu'ici été un symbole positif d'énergie solaire.

    Mais, ce qui est aujourd'hui dit de cet homme ferait peur. D'autant que lorsqu'il s'adressait à la foule, il était comme en transe et que sa voix semblait se détacher de son corps. Comme le révèle ci-dessous le reportage effectué sous le nom de "Non à l'ordo ab chao", une devise maçonnique de la Grande Loge, il y a cependant des frontières que personne n'a eu le droit de franchir, un dossier que personne n'aurait jamais imaginé remplir, celui qui concernait la vie privée de ce Führer de l'Allemagne nazie. A l'exception d'un fonctionnaire, d'un bureaucrate anonyme, inoffensif, du moins au départ, un individu sous-estimé dont personne n'aurait eu peur, que personne ne craignait - ce qui n'a pas été démontré par la suite -, un certain Martin BORMANN qui deviendra le gardien des secrets d'un homme qui en avait beaucoup trop : incestes, abus de mineurs, violences, tendance au suicide, usage de drogue, coprophagie... Pour l'écrivain américain Norman MAILER qui lui a consacré un ouvrage : Un château en forêt, publié voici déjà onze ans, HITLER était bien une créature habitée par le diable. D'autres diront qu'à défaut d'être habité par le diable, il était plutôt un être habité par des Magie noire, occultisme, rites sataniques, spiritisme, coprophagie, sciences occultes, nécromancie... le nazisme a été, en effet, tout cela avec ce personnage qui aura ponctué sa tyrannie de destructions, de feu et de terreur, en s'appuyant sur une nouvelle religion perfide dont ce Führer était censé être le représentant, et qui aura dessiné l'enfer sur terre ! Parce qu'on s'était soi-disant décidé avec quelques autres à recréer une race supérieure disparue depuis la nuit des temps en s'inspirant de débats menés au sein de l'Ordre de Thule !

    Un dossier captivant pour les historiens et pour... les curieux !

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  • Ces Français dévoyés qui avaient choisi Hitler

    Ces Français qui avaient choisi HitlerPour Droit d'inventaire, l'émission de France 3 à laquelle participaient l'historien et ancien ministre Max GALLO et les autres historiens et témoins que sont Jean-Pierre AZEMA, Catherine SERVAN-SCHREIBER et le journaliste Dominique JAMET, la chaîne avait réalisé un retour sur tous ceux qui, après l'occupation de notre pays par les nazis, avaient délibérément fait le choix de la collaboration. Mais, qui étaient-ils ces hommes ou femmes qui avaient choisi un tel camp et que le général de GAULLE assimilait à des dévoyés ?

    Parmi les plus cités figurent l'ancien combattant 1914-18 Joseph DARNAND (en photo ci-dessus) encore décoré en juin 1940 pour un acte de bravoure sur le front et qui s'était pourtant évadé d'un camp de prisonniers. Il finira par devenir Waffen SS et à jurer fidélité jusqu'à la mort à Adolf HITLER en 1943 après avoir proposé au général de GAULLE de rejoindre la France Libre parce qu'il n'avait pu bénéficier d'une dotation d'armes suffisante pour armer ses miliciens. Le maffieux Henri CHAMBERLAIN dit LAFONT s'illustrera rue Lauriston à Paris en torturant ceux qu'il rackettait en vue de leur soustraire des biens qu'il revendait aux nazis. Il sera secondé par l'ancien meilleur flic de France Pierre BONY qui s'était illustré dans la Police avant d'en être chassé pour une histoire de détournement de fonds. Autre figure, l'ancienne championne déchue Violette MORRIS impressionnée par le décorum nazi aux Jeux de Berlin de 1936 (en photo ci-contre), qui se demandait ce qu'elle fichait dans "ce pays de merde" qu'était devenue la France et qui n'avait pu voir sa licence de sportive renouvelée à cause de son goût pour les tenues masculines et parce qu'elle se définissait comme une lesbienne. Une "petite gueule de pute", Pierre-Marie PAOLI, l'ancien comptable berruyer en mal de réussite sociale que des résistants avaient voulu abattre, deviendra un sergent-chef nazi et il sera impliqué dans l'assassinat de plus d'une centaine de résistants. Tous ces collabos seront, avec quelques politiques comme Marcel DEAT et Jacques DORIOT ceux qui illustreront le mieux ce choix discutable qui leur vaudra aussi d'y laisser leur peau au moment du règlement des comptes final de l'épuration ou lors d'échauffourées.

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