• La désespérante wife minister a encore frappé !

     La comédienne Annie DUPEREY, en tête des nombreux plaignants...

    Crampes, maux de tête, vertiges, pertes de cheveux... le Lévothyrox fait beaucoup parler de lui en ce début d'automne. Confuse de se retrouver mêlée à un dossier comme celui de ce nouveau scandale lié à un défaut d'information, Agnès BUZYN, la ministre en charge des Affaires sociales, a expliqué qu'elle avait désormais à gérer un scandale dont elle ne se sentait pas responsable. Effectivement, a-t-elle reconnu ce jeudi devant la journaliste Elise LUCET, elle n'était pas aux affaires au moment de la mise sur le marché de la nouvelle formule des comprimés responsables de tant de maux. Cette nouvelle formule d'un médicament destiné à stabiliser ou compenser la fabrication d'hormones de la glande thyroïde de trois millions de personnes a été lancée sans que, et c'est bien là où le bât blesse, les personnes concernées soient suffisamment en mars dernier informées du risque de troubles risquant de survenir. Aucun dispositif de surveillance n'aurait été mis en place, dit-on. L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) aurait-elle voulu aller trop vite ? Précisons que l'ANSM avait réclamé au Laboratoires MERCK dès 2012 une nouvelle formule du médicament afin, selon elle, de rendre le produit plus stable. Or, la formule chimique de ce médicament aurait changé en mars dernier sans que l'on sache pourquoi, MERCK refusant de donner des réponses claires à ce sujet.

    Sus aux volatiles... La chasse aux pigeons est ouverte !L'une des responsables de l'affaire serait donc une certaine Marisol TOURAINE, l'ancienne ministre des Affaires sociales (1), dont la désinvolture dans la gestion du dossier d'une caisse de retraite, la CIPAV nous avait déjà valu de nous plaindre du mépris avec lequel celui-ci avait été traité. Un avocat (Maître David-Olivier KAMINSKI) chargé de recueillir les nombreuses plaintes des patients vient de demander à la Justice de se pencher sur la responsabilité de la Wife desespérante, de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et du Laboratoire MERCK au motif d'une "mise en danger de la vie d'autrui". Pour n'avoir pas assez bien couvert le dossier.

    (1) Elle a intégré le Conseil d'Etat en remerciement des services rendus et pour ne pas trop manquer de sous ! 

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